(Vidéo) Falmarès : « La poésie m’a sauvé deux fois »
Le poète guinéen Falmarès, au festival littéraire Atlantide 2024 (Nantes). Crédit photo : Charly Célinain
Un parcours de migration, compliqué, éprouvant, puis la littérature. C’est au cours de son parcours chaotique que Falmarès se découvre une passion pour l’écriture à laquelle il doit énormément.
Mali, Algérie, Libye, la mer Méditerranée, l’Italie et enfin la France. Un long périple, éprouvant, traumatisant, entamé à l’âge de 14 ans par ce jeune Guinéen, Mohamed Bangoura, plus connu sous son nom de plume, Falmarès.
Installé à Nantes, en 2018, il publie, à 16 ans, son premier recueil de poèmes, puis d’autres suivront. Il est récompensé en 2020 en recevant, de l’UNICEF, le « Prix Lycée » de poésie.
Présent au festival littéraire Atlantide (Nantes), notamment pour son dernier recueil de poésie « Catalogue d’un exilé », Falmarès revient avec nous sur la place de la littérature dans son parcours.
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