Vaccins et ouverture des cafés : le Conseil de défense se réunit

 Vaccins et ouverture des cafés : le Conseil de défense se réunit

Emmanuel Macron présidant le Conseil de défense, tenu en novembre 2020, en présence du Premier ministre Jean Castex (G) et du ministre de la Santé Olivier Véran (D). THIBAULT CAMUS / POOL / AFP

Ce matin un nouveau Conseil de défense a lieu. Il se penchera sur le calendrier pour les cafés, restaurants, salles de sport ainsi que les lieux de culture.

 

Le sort des cafetiers et restaurateurs est entre les mains de ce nouveau Conseil de défense sanitaire qui se réunit ce matin, le 6 janvier, juste avant le conseil des ministres.

Les professionnels ont été reçus au préalable, hier à l’Elysée. Le suspense est à peu près réduit à néant puisque l’on sait déjà que la réouverture envisagée autour du 20 janvier ne sera désormais pas tenable.

Jean Castex devra le confirmer demain, lors d’une conférence de presse, dans la journée du 7 janvier lorsqu’il fera ses annonces officielles. Le Premier ministre se prononcera alors sur les nouvelles restrictions potentielles qui frapperont le pays ainsi que sur la campagne de vaccination qui débute en France et qui suscite un grand débat.

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Généralisation d’un couvre-feu ?

Les regards les plus inquiets se tournent vers l’Allemagne où des mesures plus strictes viennent d’être prises par le gouvernement ou bien l’Angleterre qui s’enfonce dans un troisième reconfinement.

La question d’un énième confinement en France ne semble pas envisagée, la France étant pour l’instant relativement épargnée par cette troisième vague du virus.

En revanche une généralisation d’un couvre-feu à 18h serait possible, comme il est déjà appliqué dans une quinzaine de départements depuis quelques jours.

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Vitesse supérieure

Enfin, pour ce qui est de la campagne de vaccination, très critiquée encore ce jour, le ministre de la Santé devrait confirmer l’accélération du calendrier de celle-ci. A l’heure actuelle, la France est toujours parmi les bons derniers en la matière.

Le président du Conseil scientifique a précisé que nous ne sommes pas « en retard » mais il a appelé à « passer à la vitesse supérieure ».

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