France. SeaFrance dit non à Sarkozy
« La solution esquissée » lundi par le chef de l’État « ne peut être envisagée en raison de l’insécurité juridique qu’elle engendre », ont déclaré hier mercredi les responsables CGT.
Pour eux, les propositions avancées par Nicolas Sarkozy pour leur venir en aide ne sont pas « techniquement faisables ». Ils préconisent désormais un prêt de l’État à hauteur de 50 millions d’euros pour financer leur projet Scop afin de reprendre la compagnie de ferries en Manche. Ils appellent à une réunion avec le gouvernement « au plus tôt ».