DSK ne dit pas grand chose
« Tout cela est derrière moi, je ne suis évidemment pas candidat, même si je continue de penser que la victoire de la gauche est nécessaire. » Visage fermé, Dominique Strauss-Kahn a profité de cet interview pour faire ses adieux (provisoires?) à l’arène politique française. Il a refusé de prendre position pour la primaire socialiste mais n’a pas hésité à confirmer le pacte de non-engagement signé avec Martine Aubry. Enfin, dans l’affaire du Sofitel, l’ex patron du FMI a évoqué un « piège » peut être même un « complot ».