La 26e édition du Festival Les Suds, à Arles du 12 au 18 juillet
Le festival Les Suds prend ses quartiers dans le centre historique d’Arles, du 12 au 18 juillet. Une cité féérique et un événement qui l’est tout autant.
7 jours et 6 nuits autour des Musiques du Monde. Un événement non stop avec des concerts, des ateliers et des débats qui investiront les monuments et les quartiers de la ville. Des événements sont payants et d’autres gratuits.
Pour cette 26ème édition, plusieurs têtes d’affiche, comme Flavia Coelho, Goran Bregovic et l’incontournable Souad Massi. Le Théâtre Antique, cet écrin sous les étoiles, d’une beauté et d’une acoustique exceptionnelles, accueille des artistes de renommée internationale ou ceux en découverte.
Une programmation riche, avec plus de 60 concerts et 200 artistes de France et d’ailleurs. On compte parmi les rubriques phares du festival, les soirées Suds au théâtre antique et les Moments Précieux aux Alyscamps ou encore les Scènes en Ville. Tout pour faire le bonheur des habitués et des nouveaux convertis.
Une création qui réunit trois pays, le Maroc, Cuba et la France
Cette édition, comme ses précédentes, au nombre de 25, est fidèle à l’esprit du festival les Suds. Un rendez-vous de partage et de convivialité, de rencontres avec les cultures du monde permettant de découvrir des spectacles de qualité.
Des artistes de nombreux pays se réuniront dans la belle cité d’Arles, comme c’est le cas depuis 1996, pour chanter, danser, parler et développer des valeurs que le festival ne cesse de cultiver d’une édition à une autre. L’empathie en premier.
Le samedi, 17 juillet, présentation d’Oum & M-Carlos HALS. Une création qui réunit trois pays, le Maroc, Cuba et la France. Les airs envoutants en arabe joués par Oum El Ghaït Ben Essahraoui se mêlent au saxophone et aux martèlements électros du Cubain Carlos Mejias. Ensemble, ils créent une musique hybride, originale et multiculturelle. Sur scène, ils improvisent à partir des émotions qu’ils ont traversées tout au long de la crise sanitaire mondiale. Leur performance racontera la peur de l’inconnu, l’indicible espoir et l’impatience de rattraper le temps perdu. Des airs chantés en darija, l’arabe dialectal marocain, et déclinés selon l’humeur de chaque artiste, mais également selon la perception du public, dans sa diversité.
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