Fin du port du masque en intérieur et nouveaux allègements mi-mars

 Fin du port du masque en intérieur et nouveaux allègements mi-mars

Valentino BELLONI / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP

Vers la fin du port du masque en intérieur à la mi-mars. Olivier Véran, ministre de la Santé, se veut optimiste mais conditionne toujours l’allègement à la situation épidémique.

 

« Le Covid n’est pas derrière nous mais ça s’améliore nettement », indique Olivier Véran. Invité ce matin (16 février) de France Info, le ministre de la Santé annonce que « probablement qu’à la mi-mars, on pourra alléger à nouveau » les restrictions sanitaires.

C’est l’amélioration de la situation sanitaire qui permet un tel optimisme. Toujours selon le ministre, qui s’appuie sur les affirmations des scientifiques, il est probable que le virus revienne cet été ou l’hiver prochain, mais cette éventuelle nouvelle vague serait vécue « avec plus de sérénité ». Malgré tout, Olivier Véran reste prudent et rappelle qu’il y a « encore beaucoup de malades et beaucoup de morts ».

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« Mi-mars, on pourrait commencer à se poser la question du masque en intérieur » selon le ministre de la Santé. Si l’hôpital est en état de fonctionner normalement et que la circulation du virus reste très faible. Dans les entreprises, dans les transports en commun et, par extension, dans les écoles, les lieux où le masque pourrait ne plus être obligatoire sont encore à l’étude.

Concernant le dispositif du pass vaccinal, il pourrait lui aussi être très fortement allégé. Cependant, s’il ouvre la voie à une telle possibilité, Olivier Véran précise que le pass vaccinal sera obligatoire dans les lieux à risque, type discothèques.

Les 5-11 ans moins vaccinés

Au 29 janvier, seuls 4 % des enfants de 5-11 ans ont reçu une première dose du vaccin contre le Covid-19. « Avec le vaccin leur enfant ne risque rien. Avec le Covid, il risque une forme grave » rappelle le ministre de la Santé.

Ce dernier rappelle l’importance de la vaccination et que, sans cette large couverture vaccinale, les hôpitaux auraient moins bien supporté cette vague épidémique et il y aurait certainement eu encore plus de morts.

 

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