Berne inflige un nouveau camouflet aux séparatistes du polisario en Europe
Le Département fédéral suisse des Affaires étrangères a déclaré “qu’il n’existe de représentation officielle du front polisario ni auprès de l’Office des Nations unies à Genève ni auprès du Conseil fédéral (Gouvernement suisse)”, infligeant ainsi un nouveau camouflet aux séparatistes.
Dans une mise au point faite par le biais d’une note verbale adressée à l’ambassade du royaume du Maroc à Berne, le Département fédéral suisse précise que “le bureau du front polisario à Genève ne jouit d’aucun privilège et d’aucune immunité en Suisse”. C’est une nouvelle défaite essuyée par le polisario dans sa quête de promouvoir ses thèses fallacieuses.
Le Département fédéral suisse souligne, à cet égard, qu’il a été à nouveau indiqué au soi-disant représentant du polisario en Suisse d’éviter d’utiliser des dénominations et des titres qui laisseraient penser qu’il s’agit d’une représentation officielle du polisario.
Il s’agit là d’un cinglant camouflet infligé au polisario par le Département fédéral suisse des Affaires étrangères, suite aux agitations désorientées menées par le soi-disant représentant du polisario en Suisse, en se faisant passer pour l’ambassadeur représentant de ce front séparatiste dans ce pays et auprès de l’Office des Nations unies et des Organisations internationales à Genève.
Après les nombreux revers infligés au polisario par plusieurs pays, et les multiples agitations des séparatistes vouées à l’échec, la communauté internationale est bien consciente et refuse de se laisser prendre en otage par une escroquerie intellectuelle et historique entretenue par le polisario et son mentor, depuis des décennies.
Financées par le régime algérien, des soi-disant représentations diplomatiques du polisario à l’étranger coûtent aux contribuables algériens des millions d’euros chaque année. Des mercenaires à col blanc à l’instar d’Oubi Bouchraya Bachir ou Ammar Sidi Omar, qui se présentent comme des diplomates alors qu’ils ne sont que résidents étrangers et n’ont aucun statut diplomatique. Ils ne sont que des marionnettes manipulées par les services algériens qui ont fait de la question du Sahara marocain une obsession depuis 1975.